MON MONOI 1 000 FLEURS
C’est lundi! C’est l’Été! Et pour rester dans le ton je me suis laissée tenter par un petit produit connu de tous et que j’ai déjà utilisé autrefois y’a longtemps,(oui je suis une dinosaurette!).
Mais wouais le truc hypra cliché de la fille qui veut sentir les îles! Mais c’est pas que ça hein! Celui là d’abord il est en édition limitée regarde :
Oui j’ai succomber au packaging de cette jolie bouteille!! – Flacon verre 200 ml environ 15 euros dans mon Monop’
Qu’on se le dise j’aime cette odeur! ça me rappelle mes voyages dans les Caraïbes (genre!) bon y’avais pas Jack Sparow. Mais le monoï a aussi des vertus hydratantes alors je me suis dit pourquoi pas allier senteur et bien être ?!
Et en vrai le tout premier truc qui m’est venu à l’esprit c’est de soigner ma chevelure de rêve qui l’Été est à rude épreuve entre la mer, la piscine (oui je sais ma vie n’est pas facile!). Malheureusement je n’ai pas encore testé mais parait que c’est bien!
Ah et précision très importante ce produit n’est pas fait pour bronzer hein, sinon tu seras toute cramoisie du corps et du cheveux. C’est un produit hydratant pour le corps et les cheveux!!
Dommage que tu n’ai pas l’odeur… c’est simplement divin!
C’est quoi le monoï 1000 fleurs?
Le monoï de Tahiti aux 1000 Fleurs Hei Poa fait parti de la Collection Eté 2012, il est indiqué pour nourrir, hydrater et protéger la peau et les cheveux secs, asséchés par le soleil, le sel, les agressions extérieures..
Hei Poa Monoï de Tahiti aux 1000 Fleurs est obtenu par macération de fleurs de Tiaré, de Frangipanier, d’Hibiscus, de Kau Pe, d’Ylang Ylang et de Lotus dans de l’huile de Coco (1000 fleurs pour 1L d’huile).
Originaire de Polynésie, le monoï est réputé pour son pouvoir réparateur et nourrissant, à la fois sur la fibre capillaire et sur l’épiderme. Ce monoï de Tahiti AO (Appellation d’Origine) est formulé sans conservateurs, et convient pour la peau ainsi que pour les cheveux.
Les conseils d’utilisation de la marque
Considéré comme une huile sacrée en Polynésie, le Monoï est utilisé pour hydrater*, nourrir, réparer et protéger la peau et les cheveux. Ses propriétés cosmétiques et son parfum unique en font un produit de soin plaisir et naturellement efficace.
*Hydratation de la peau : Le Monoï de Tahiti hydrate les couches superficielles de l’épiderme, la protège contre les agressions extérieures et améliore la fermeté de la peau et du microrelief cutané.
Réparation capillaire : Le Monoï de Tahiti répare et lisse la fibre capillaire desséchée et abîmée, laissant la chevelure souple, brillante et facile à coiffer.
Le Monoï de Tahiti se fige naturellement en dessous d’une température de 24°C, pour qu’il redevienne liquide, place la bouteille sous l’eau chaude.
Comment je m’en sers ?
Bon j’ai pas encore tester sur ma chevelure de rêve… par contre je l’ai utiliser en hydratation corporelle après la douche! Prendre un peu de cette huile et l’étaler sur ton corps encore humide (outch ça dévie!!) pour une hydratation maximale ainsi qu’une peau hypra douce!
Pour moi l’hydratation n’est pas assez riche (ben vi : peau de vieille faut de l’hydratation intense) mais j’en applique sur les bras, au creux du cou comme un parfum!!!! Et oui ça sent vraiment hypra bon ce truc là, j’adore!!!!
Y’a pleins d’astuces sur le site des petites vidéos qui, je trouve, sont bien utiles concernant ce produit!
Voilà mon remède anti déprime météo!!
On dirait du miel en plus liquide! Hummm on en mangerait!
Pour l’application : en mettre peu car c’est gras quand on en verse mais une fois appliquer sur la peau ça l’est moins et ça sent bon et l’odeur dure longtemps!
Et toi le monoï pour ou contre ?
UN PETIT TOUR A LA CAMPAGNE
Coucou! Juste comme ça pour mettre un peu de vert sur le blog!
Je reviens d’un gite dans l’Ardèche du côté de Vanosc (plus précisément Col de la Charousse)! Du coup ce matin on s’est fait une jolie ballade à l’air frais (ben vi à la campagne aujourd’hui ça caillait un peu!) et ce fut bien agréable d’être entourée d’arbre, de fleurs et de vaches!!!
C’est mon côté belle des champs qui prends le dessus!
La bonne fin de Dimanche!
Rural je te dis le coin où j’étais!
Il est pas trop mignon ce panneau en forme d’oeuf ?
Quand je serais grande je voudrais le même potager tout joli sans mauvaises herbes!
Une maison en pierre abandonnée…
Se nourrir de framboises sauvages pendant la promenade!!
Profiter des espaces verts pour respirer à pleins poumons!
Se faire une copine le long de la ballade!
Ou un copain ça dépend!
Une jolie maison à volets bleus, toute fleurie!
Une autre jolie maison de pierres!
Sympa l’accueil de la maison! J’aime bien!
Hâte d’être dans mon jardin pour planter les mêmes fleurs!
Instant poétique…
Petit ruisseau dans la nature!
Ta saint jacques pour te rappeler que tu est sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle!
Petit clin d’oeil à mes amis BBZ…
Du vert, de la pierre, des fleurs : la belle campagne quoi!
A bientôt pour de nouvelles aventures!
MES DERNIERES AVENTURES VERNIESQUES
En ce vendredi j’ai juste envie de te parler de mes dernieres aventures verniesques! L’Été étant arrivée enfin à Lyon, j’avais juste envie d’avoir de jolies couleurs sur mes ongles!!
Du coup me suis emballée offert 3 petits vernis bien sympatoches pour égayer mes soirées estivales!
Les petits nouveaux!
Alors je me suis laissée séduire par le Corail Colisée de chez YSL, le Holidays de Chanel et le Lagoon de Dior!
Corail Colisée de Yves Saint Laurent
Un joli Corail bien pep’s entre le ROuge, rOSE, Orange enfin COrail quoi! En ce qui concerne la texture il est parfait en application, le pinceau est très pratique et le séchage très rapide! J’aime les vernis d’YSL : simple et eficace!!! Et comme je change régulièrement de vernis (surtout sur les pieds) c’est parfait pour moi!
Voilà le fameux pinceau plat!
Holidays N°617 de Chanel
Oui je suis faible et lâche j’ai succomber à la dernière nouveauté Chanel! Faut dire aussi que la couleur est juste sublime : un orange vitaminé flashy!
Très sympa sur une peau bronzée! Bah la texture est très bien aussi, l’application facile!
Bref Chanel s’est y faire aussi! Cette couleur va avec ma garde robe estivale!!! Je suis ravie de ce petit dernier dans ma vernithèque!!
Pinceau tout fin mais très pratique pour le vernissage de l’ongle!
Bref à porter sans modération tout le long des vacances ou pas!
Lagoon n°198 de Dior Collection Summer Mix
Oui j’ai succomber aussi à la collection Dior Summer mix!
Bleu Lagon ca le fait pas mal nan! T’as juste envie de plonger dedans! Même si je trouve que le bleu est plus difficile à porter que le corail, orange, rose, rouge toussa je l’ai quand même pris!
Parce que c’est un Vernis glossy et que j’ai aussi dans mon shoesing de magnifiques chaussures de toutes les couleurs (oui je te les montrerais bientôt si t’es sage!!)! Du coup ben ça le fait grave bien!
En ce qui concerne l’application je trouve que les Dior sont pas si simples à utiliser : le pinceau est large et la texture assez épaisse! Du coup faut être plus concentrée… et des fois ben comme je fais ça vite fait ben ça passe moyen!
Je suis ravie de toutes ces couleurs qui donne la pêche! Je suis parée pour assortir mes ongles à toutes mes tenues!! Ben quoi on se refait pas….
Et toi quelles sont tes dernières aventures verniesques ?
FRANK MAQUIS : THE MELODIC DEPTHS 10
Hey salut! Petit mix du jeudi = happy… (ok je sors!)!!
Bon alors c’est un petit mix d’un gars (enfin du DJ quoi!) que je connais pas, c’est pas mal même si parfois je trouve que c’est limite techno par moment! Le début est parfait jusqu’à la 30′ après ca change! En même temps l’Eté on est plus indulgent alors …
C’est assez différent de ce que je propose (Melodic Progressive breaks) habituellement mais ça le fait bien aussi! Enfin tu me diras ce que t’en a pensé! la fin est assez déroutante mais en même temps revient sur le tempo du début! Ce mix est séquencé, je te laisse découvrir!
The Melodic Depths V10 by Frank Marquis
Tracklist
01 Paul Kieran ~ I Am Me
02 Sunner Soul ~ My Inspiration (Breaks Mix)
03 Scuba ~ Everywhere
04 Habersham ~Gently Shifting People (Dararma’s Stereomenthol Mix)
05 Gui Boratto ~ Like You
06 Dmerit ~ Girls & Make-up (AutoRock Dub Remix)
07 Chris Domingo ~ Get You On (Seth Vogt Remix)
08 Nikki Carabello, Dustin Hulton ~ Something About You
09 Vespers ~ This Is The Beat (Groove Diggerz Dangerous Remix)
10 Detach ~ Megatune
11 Mr Squatch ~ Splendifourous Pudding Pop
12 Achron ~ The Door (Retroid Remix)
13 Ilya Mosolov ~ Test Tube One
14 Schodt ~ Heatwave
15 Journeyman,Barrcode ~ Broken Chord (Seth Vogt Remix)
16 Seba ~ Painted Skies (Authur Deep Remix)
C’est qui Frank Marquis ?
Spinning since the late 90’s and making music since the late 80’s…love prog breaks, dnb and melodic techno….enjoy the music!
BON MIX!
DANS L IPHONE DE FPTS #5
Hello! Vi je sais ma présence sur le blog est un peu aléatoire en ce moment… Je fais quelques escapades, je reviens, puis je repars bref! En même temps je règle deux trois trucs sur la rénovation de ma maison, mon déménagement, choix de materiaux… Tout un programme
Mais me revoilou en images! (ben vi j’ai pas encore pris le temps de me consacrer à un article mais c’est en cours!)
La belle journée à très vite!
Retourner dans le Sud et profiter du ciel bleu de La Ciotat!
Aller à la plage avec mes enfants et Buzz l’Eclair!
Profiter de la piscine tout en lisant un bouquin complètement futile!!!
Rester en enfance et jouer avec Monsieur le Crocodile!
Ton batônnet de glace Flash Mc Queen!
Revenir à Lyon sous un ciel bleu et se promener vers la Confluence entre amis!
Retrouver ses keupins/keupines et découvrir qu’ils ont fait une razia chez Pop and Shoes pour les soldes!!!
Mes derniers achats verniesques!
Belle après midi à tous!
T-LECTUAL AND SUMMER : JEUDI ELECTRO FPTS
Le Jeudi c’est Electro qu’on se le dise! Aujourd’hui un mix House Progressive d’un DJ Coréen… qu’évidemment je découvre en même temps que toi ou presque!
Bon c’est de la House Progressive donc tu connais le rythme toussa mais bon ca le fait à chaque fois!
M’a fallu un bon quart d’heure pour me mettre dedans mais à la 16′ y’a moyen que tu sois plus attentif(ve) puis à la 20′ ça envoie un peu du bois quand même! à la 39′ c’est un peu tribal j’aime bien voir +++….
Tony (le DJ!) vit aux States du coup tu sens quand même cette influence : ce que je veux dire par là c’est que c’est chanté et que les bass sont bien présentes!
Alors je te propose d’ouvrir tes fenêtre de te mettre à l’aise et d’envoyer la patate, le mieux serait qu’on se retrouve tous sur la plage en plein sun pour pouvoir en profitez à fond!
Tracklist
1. Stimming. The Train (Interlude). Diynamic
2. KL Creighton & Harry Monroe. Don’t Touch Me (TDRMC Remix). Baker Street Recordings
3. Clockwork. Things You Have. No.19
4. Guy Gerber – One Day In May (Visionquest)
5. Lonya – De High (Audio Junkies Romantic Remix)
6. Martin Roth. Beautiful Life (T.Lectual’s Get It On Re-Edit).
7. Nicone & Sascha Braemer. And I Just (T.Lectual’s Open Hat Re edit). Stil Vor Talent
8. Luciano Pizzella – Deserto Blu (Tulipa Recordings)
9. Ultrasone – Meetin’ Again (T.Lectual’s Ping Re-Edit)(Supplement Facts)
10. Tigerhook Corp. Gonna Hit The City (Randall Jones Mix). Baroque
11. Maetrik. The Poem. Cocoon Promo
12. Phonogenic – Backtrack (International Sound Laboratory)
13. Kolombo. Shape Your Life (Martin Dawson Alt Dub). Noir
C’est qui T- Lectual and Summer ?
Tony Bove, aka T-Lectual, has been inspiring dance floors and producing music for over a decade.
Born in Korea and raised in different cities spanning the entire US, Tony was exposed to a variety of genre’s and cultures from which he draws his musical inspiration and can be heard in his live shows today. A true artist, his style meshes an eclectic blend of all great things in House music – Deep, Tech, Progressive, Down-Tempo or whatever the occasion demands.
In 2006, Tony graduated with degrees in Audio Engineering and Entertainment Business from the prestigious recording school, Full Sail University in Florida. During his time at Full Sail, Tony honed his production skills by learning from giants like Noel Sanger, Medway and Grammy Nominee Michael Reaves. Since his graduation, he has gone on to produce multiple hits for reputable record labels like Mirabilis, Polytechnic, and Digiprana. His tracks continually receive critical acclaim and support from his peers as well as global DJ icons such as Hernan Cattaneo.
His production background helps him in the DJ booth as well. His understanding of music, his ability to immediately identify the tracks harmonic center and chords allows him to mix tracks seamlessly and create a flawless continual flow of energy on the dance floor.
Due to the success and acclaim he’s received for his productions, Tony recently formed Intellectual Mastering; a company which helps artists with, what is arguably the most important finishing touch to any track, the mastering. Tony’s new venture has quickly gained clientele from record labels and artists in multiple genres including House, Tech, Progressive and Hip-Hop.
Tony has played alongside a myriad of DJ heavyweights including John “Quivver” Graham, Colette, Steve Smooth, and Noel Sanger to name a few. Quickly gaining recognition in his new home town, he was recently voted St. Louis’ Best Progressive House DJ by his peers. Gaining valuable experience playing at a wide range of parties and clubs across the South-East, South and Mid-West states, Tony knows just what to do and when to do it.
Les Liens
Le Bon mix!
DANS L IPHONE DE FPTS #4
Un petit voyage en image pour aujourd’hui ca te tente! oui, non?
Je sais c’est pas cool va y’avoir encore des photos qui vont t’énerver mais bon en même temps ca égayera ta journée de travail!
Belle après midi!
Des Bonbons Haribo pour fêter la fin de l’école! Vive les vacances! Youpi!
Un peu de piscine juste avant de partir à la mer histoire de voir comment c’est bien!
Petit coin de paradis pas très loin de Lyon!
Direction le Sud pour quelques jours de farnienté!
En mode je profite du sun, de la mer : la belle vie quoi!
Ca sent bon les vacances!
Tu serais pas bien là hein à profiter!!!!
Je m’en lasse pas!
Hummmmmm!
Profiter de la plage le soir tard quand y’a presque plus personne : bonheur!
Petit tour à Cassis pour une session shopping : ben quoi ca va eh oh c’est les vacance je fais ce que je veux!
Mes derniers achats de beauté! je t’en parle bientôt… ainsi que mes soldes : chaussures, robes toussa quoi, et mes news vernis oeuf curse!
En tout cas le sud j’adore toujours autant, le temps était juste parfait et pas encore trop de vacanciers!
et toi tu pars où cet été ?
MES PRODUITS SOLAIRES
Salut! Mais c’est quoi ce temps à Lyon ? Pfff dans le sud faisait vraiment très beau du coup pour rester un peu en vacances je te propose une petite revue sur mes produits solaires!
Bah en même temps c’est de saison hein ? Si je t’en parle pas maintenant je t’en parles quand ?
Alors voilà j’ai découvert ces produits je sais plus comment… La seule chose qui me reste en tête c’est que tu les trouves pas de partout! Alors oui je sais ce ne sont pas des produits solaires que tu trouveras en para-pharmacie, mais est-ce pour autant qu’ils ne soient pas tout aussi efficaces?!
Parce que bon faut que je t’avoues : mes produits solaires faut qu’ils sentent bons! Tu vois le truc qui te transporte genre dans les îles toussa machin bidule! Nan je ne suis pas originale je sais, mais j’ai pas demandé à ce que ça sente le monoï (bon en même temps j’ai succomber à la nouvelle bouteille Monoï mais ça je t’en parlerais plus tard!) non plus!
Bref mes produits du soleil ils sentent bon les agrumes et wouais je sais c’est la classe à Végas!
Mes partenaires de l’Été! www.hawaiiantropic.fr
Alors j’alterne en fonction du soleil, du début ou fin de bronzage bref je fais un petit meli melo d’indice, mon préféré le dernier né de la gamme le Hawaiian Tropic Silk.
(Recommandée par la Fondation Internationale de Lutte contre le Cancer de la peau)
Bon là on voit pas bien sur la photo mais le tube est bi color façon glace italienne! Pourquoi pas moi je dis, mais en fait le truc c’est que à l’intérieur ben c pareil! truc de ouf!
Et attend t’as pas l’odeur et le toucher du produit! Hummm un délice tellement il est tout doux et surtout hydratant! parce que le secret d’un joli bronzage c’est l’H Y D R A T A T I O N on ne le dira jamais assez!!!!
J’aime cette odeur, j’aime aussi l’efficacité ce n’est pas que pour “Frimer” sur la plage, ça fonctionne vraiment! Pas de coup de soleil, l’indice 30 en crème est génial et les huiles en spray bien! Le packaging est pratique et en plus ils ont créer aussi des petits modèles… Mon packaging préféré restera quand même la bombe aérosol (mais pas facile à trouver en France!) ou là tu peux te tartiner de crème a foison!
Tu pourras les trouver en grande surface (genre Carrefour, Monoprix…) pour genre 12 à 15 euros…. Il existe aussi la gamme after sun mais je trouve que ça sent pas pareil alors je me tartine de Lipikar (vu ici)….
Je suis fan, je m’en lasse pas, d’ailleurs je te laisse je vais me tartiner pour sentir bonnnnnnnn!!!
C’est quoi Hawaiian Tropic ?
Textures originales, parfums gourmands, cette gamme de soins solaires composée d’ingrédients issus de plantes et de fruits exotiques (extraits de carotte, huile de coco, guarana, beurre de mangue, aloe vera, camomille, vitamines A, B, C et E) fait divinement rayonner la beauté de la peau.
Mais la formulation Hawaiian Tropic est avant tout destinée à vous protéger l’épiderme des rayons néfastes du soleil. De l’indice 0 pour les peaux mates jusqu’à l’indice haute protection comme les lotions 50+, toutes les peaux peuvent prétendre à l’amour du bronzage, mais sans compromis de protection !
Le créateur de la Marque, Ron Rice, avait une peau blanche…Sa passion du surf est probablement à l’origine de cette ligne de soins solaires devenue culte.
35 ans après sa création, Hawaiian Tropic, leader du soin solaire sur le continent américain, est devenu le soin culte des plages dans plus de 150 pays.
Les soins cosmétiques Hawaiian Tropic sont aujourd’hui fabriqués à Osmond Beach, en Floride, par Energizer Group. 400 personnes travaillent à la production de ces produits. Les produits sont garantis conformes à la législation européenne sur les produits solaires.
C’est quoi la composition des Produits Hawaiian Tropic?
La protection anti UVA et UVB est conforme à la réglementation européenne. Non testée sur les animaux.
INGREDIENTS: Octocrylene, Ethylhexyl Benzoate, Benzophenone-3, Butyl Methoxydibenzoylmethane, Glycerin, VP/Eicosene Copolymer, Cetearyl Alcohol, Diisopropyl Adipate, Isopropyl Myristate, Isopropyl Palmitate, Phenethyl Benzoate, Polymethylsilsesquioxane, Polyethylene, Sodium Polyacrylate, Caprylyl Glycol, Dimethicone, Coco-Glucoside, Ceteth-10 Phosphate, Dicetyl Phosphate, Xanthan Gum, Disodium EDTA, Paraffin, Silk Amino Acids, Butyrospermum Parkii Butter, Mangifera Indica Seed Butter, Panthenol, Sodium Ascorbyl Phosphate, Tocopheryl Acetate, Aloe Barbadensis Leaf Juice, Carica Papaya Fruit Extract, Colocasia Antiquorum Root Extract, Mangifera Indica Fruit Extract, Passiflora Incarnata Fruit Extract, Plumeria Acutifolia Flower Extract, Phenoxyethanol, Methylparaben, Propylparaben, Parfum, Hydroxycitronellal, Linalool, May Contain: Mica, Bismuth Oxychloride, Iron Oxides.
Et toi ton produit solaire fétiche ?
RIEN NE S OPPOSE À LA NUIT DE DELPHINE DE VIGAN
Bonjour tout le monde! Me revoiloù après quelques jours d’éscapade dans le Sud 🙂
Je sais pas si t’es comme moi, mais l’Été est propice à la lecture! Mon dernier roman en date est le célébrissime roman de l’année 2011 ‘Rien ne s’oppose à la nuit” de Dephine de Vigan.
C’est quoi l’histoire ?
La douleur de Lucile, ma mère, a fait partie de notre enfance et plus tard de notre vie d’adulte, la douleur de Lucile sans doute nous constitue, ma sœur et moi, mais toute tentative d’explication est vouée à l’échec. L’écriture n’y peut rien, tout au plus me permet-elle de poser les questions et d’interroger la mémoire. La famille de Lucile, la nôtre par conséquent, a suscité tout au long de son histoire de nombreux hypothèses et commentaires. Les gens que j’ai croisés au cours de mes recherches parlent de fascination ; je l’ai souvent entendu dire dans mon enfance. Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du Verbe, et celui du silence. Le livre, peut-être, ne serait rien d’autre que ça, le récit de cette quête, contiendrait en lui-même sa propre genèse, ses errances narratives, ses tentatives inachevées. Mais il serait cet élan, de moi vers elle, hésitant et inabouti. »
Dans cette enquête éblouissante au cœur de la mémoire familiale, où les souvenirs les plus lumineux côtoient les secrets les plus enfouis, ce sont toutes nos vies, nos failles et nos propres blessures que Delphine de Vigan déroule avec force.
C’est qui l’auteur ?
Apparue discrètement sur la scène littéraire, Delphine de Vigan a su se faire une place de choix parmi les écrivains français. Directrice d’études dans un institut de sondages, la jeune femme écrit le soir, sans prétendre à la carrière de romancière qui sera la sienne, avant de pouvoir vivre de sa plume.
Après la parution, en 2001, d’un premier récit d’inspiration autobiographique intitulé ‘Jours sans faim’, c’est avec le recueil de nouvelles ‘Les Jolis Garçons’ et le roman ‘Un soir de décembre’, deux ouvrages sur le thème de la désillusion amoureuse, que l’écrivain gagne le coeur d’un large public.
Un bouche à oreille enthousiaste contribue au triomphe de ‘No et moi’, l’histoire d’une rencontre entre une adolescente surdouée et une jeune SDF qui vaut à son auteur d’être plébiscitée par les libraires (Prix des libraires 2009) et les lecteurs. Mêlant avec justesse les dimensions sociale et intime, l’écrivain poursuit dans ce registre avec le roman ‘Les Heures souterraines’, paru en 2009. En 2010 sort l’adaptation cinématographique de ‘No et moi’ par Zabou Breitman.
Son roman ‘Rien ne s’oppose à la nuit‘ est publié en août 2011 par les éditions JC Lattès.
Ce que j’en pense ?
A y’ai je l’ai enfin lu! Mon entourage m’en avait souvent parlé mais je me sentais pas prête à le lire!
C’est un sujet pas facile qu’aborde Delphine de Vigan (l’auteur) : retracé la parcours de sa mère… Ce roman est autobiographique. Alors au premier abord j’étais pas très encline à lire ce genre de thème, puis en faisant le plein de bouquin pour l’Été je me suis laissée tenter!
Et je n’ai pas été déçue, au contraire c’est un roman riche en émotion, très bien écrit si bien que dans certaines scènes j’avais l’impression d’être à côté des personnages du livre! Ce roman est sans langue de bois, il est réaliste parle de la famille (et quelle famille!).
Delphine de Vigan a découpé son roman en trois partie:
1- l’histoire de sa grand mère Liane
ma partie préférée, Liane est une grand mère un peu Olé Olé mais avec aussi les travers de l’époque : les non dits… très belle description de la où finalement tout a commencer!
2- L’histoire de sa mère : Lucile
Lucile semble une pièce rapportée, elle ne semble pas vouloir s’intégrer, elle veut être libre sans être responsable, elle veut être légère et nostalgique d’une vision du monde qu’elle ne fait que fantasmer. Lucile est malade dans ce monde, dans son monde. Lucile fera deux enfants, aimera, vivra, et puis ne pourra plus faire semblant.
3- son histoire ainsi que son ressenti : Delphine
Delphine de Vigan interroge cette histoire qui lui est si proche et encore si douloureuse.
On peut dire que certaines familles ne sont pas épargnées et celle ci en fait partie… Pas fastoche l’enfance et l’adolescence de Delphine de Vigan, au même titre que pas simple non plus pour Lucile (sa mère) de trouver sa place dans cette famille et même dans le monde qui l’entourait.
J’admire le travail de l’auteure sur son travail de recherche pour avoir décortiquer la chronologie de son histoire, j’admire aussi son intégrité, son honnêteté par rapport à ses sentiments mais surtout le courage d’écrire sur sa mère Lucile 3ème enfant d’une fratrie de 9 belle comme le jour (voir la photo de couverture!).
Contrairement à d’autres je n’ai pas pleuré en lisant ce livre, parfois émue de la justesse du verbe concernant la vision qu’à l’auteur sur sa mère…
Un roman poignant d’émotion (voir bouleversant aussi parfois…) que je te laisse découvrir cette enquête éblouissante au cœur de la mémoire familiale, où les souvenirs les plus lumineux côtoient les secrets les plus enfouis, cela fera écho à ta propre vie, à tes propres blessures…
Extrait du livre “Rien ne s’oppose à la nuit”
Ma mère était bleue, d’un bleu pâle mêlé de cendres, les mains étrangement plus foncées que le visage, lorsque je l’ai trouvée chez elle, ce matin de janvier. Les mains comme tachées d’encre, au pli des phalanges.
Ma mère était morte depuis plusieurs jours.
J’ignore combien de secondes voire de minutes il me fallut pour le comprendre, malgré l’évidence de la situation (ma mère était allongée sur son lit et ne répondait à aucune sollicitation), un temps très long, maladroit et fébrile, jusqu’au cri qui est sorti de mes poumons, comme après plusieurs minutes d’apnée. Encore aujourd’hui, plus de deux ans après, cela reste pour moi un mystère, par quel mécanisme mon cerveau a-t-il pu tenir si loin de lui la perception du corps de ma mère, et surtout de son odeur, comment a-t-il pu mettre tant de temps à accepter l’information qui gisait devant lui ? Ce n’est pas la seule interrogation que sa mort m’a laissée.
Quatre ou cinq semaines plus tard, dans un état d’hébétude d’une rare opacité, je recevais le prix des libraires pour un roman dont l’un des personnages était une mère murée et retirée de tout qui, après des années de silence, retrouvait l’usage des mots. A la mienne j’avais donné le livre avant sa parution, fière sans doute d’être venue à bout d’un nouveau roman, consciente cependant, même à travers la fiction, d’agiter le couteau dans la plaie.
Je n’ai aucun souvenir du lieu où se passait la remise du prix, ni de la cérémonie elle-même. La terreur je crois ne m’avait pas quittée ; je souriais pourtant. Quelques années plus tôt, au père de mes enfants qui me reprochait d’être dans la fuite en avant (il évoquait cette capacité exaspérante à faire bonne figure en toute circonstance), j’avais répondu pompeusement que j’étais dans la vie.
Je souriais aussi au dîner qui fut donné en mon honneur, ma seule préoccupation étant de tenir debout, puis assise, de ne pas m’effondrer d’un seul coup dans mon assiette, dans un mouvement de plongeon similaire à celui qui m’avait projetée, à l’âge de douze ans, la tête la première dans une piscine vide. Je me souviens de la dimension physique, voire athlétique, que revêtait cet effort, tenir, oui, même si personne n’était dupe. Il me semblait qu’il valait mieux contenir le chagrin, le ficeler, l’étouffer, le faire taire, jusqu’au moment où enfin je me retrouverais seule, plutôt que me laisser aller à ce qui n’aurait pu être qu’un long hurlement ou, pire encore, un râle, et m’eût sans aucun doute plaquée au sol. Au cours des derniers mois les évènements qui me concernaient s’étaient singulièrement précipités, et la vie, cette fois encore, fixait la barre trop haut. Ainsi, me semblait-il, le temps de la chute, n’y avait-il rien d’autre à faire que bonne figure, ou bien faire face (quitte à faire semblant).
Et pour cela je sais depuis longtemps qu’il est préférable de se tenir debout que couché, et d’éviter de regarder en bas.
Dans les mois qui ont suivi j’ai écrit un autre livre sur lequel je prenais des notes depuis plusieurs mois. Avec le recul j’ignore comment cela a été possible, si ce n’est qu’il n’y avait rien d’autre, une fois que mes enfants étaient partis à l’école et que j’étais dans le vide, rien d’autre que cette chaise devant l’ordinateur allumé, je veux dire pas d’autre endroit où m’asseoir, où me poser. Après onze années passées dans la même entreprise – et un long bras de fer qui m’avait laissée exsangue – je venais d’être licenciée, consciente d’en éprouver un certain vertige, quand j’ai trouvé Lucile chez elle, si bleue et si immobile, et alors le vertige s’est transformé en terreur puis la terreur en brouillard. J’ai écrit chaque jour, et je suis seule à savoir combien ce livre qui n’a rien à voir avec ma mère est empreint pourtant de sa mort et de l’humeur dans laquelle elle m’a laissée. Et puis le livre a paru, sans ma mère pour laisser sur mon répondeur les messages les plus comiques qui fussent au sujet de mes prestations télévisées.
Un soir de ce même hiver, alors que nous rentrions d’un rendez-vous chez le dentiste et marchions côte à côte sur le trottoir étroit de la rue de la Folie-Méricourt, mon fils m’a demandé, sans préavis et sans que rien, dans la conversation qui avait précédé, ait pu l’amener à cette question :
– Grand-mère… elle s’est suicidée, en quelque sorte ?
Encore aujourd’hui quand j’y pense cette question me bouleverse, non pas son sens mais sa forme, ce en quelque sorte dans la bouche d’un enfant de neuf ans, une précaution à mon endroit, une manière de tâter le terrain, d’y aller sur la pointe des pieds. Mais peut-être était-ce de sa part une véritable interrogation : compte tenu des circonstances, la mort de Lucile devait-elle être considérée comme un suicide ?
Le jour où j’ai trouvé ma mère chez elle, je n’ai pas pu récupérer mes enfants. Ils sont restés chez leur père. Le lendemain je leur ai annoncé la mort de leur grand-mère, je crois que j’ai dit quelque chose comme “Grand-mère est morte” et, en réponse aux questions qu’ils me posaient : “elle a choisi de s’endormir” (pourtant j’ai lu Françoise Dolto). Quelques semaines plus tard, mon fils me rappelait à l’ordre : un chat s’appelait un chat. Grand-mère s’était suicidée, oui, foutue en l’air, elle avait baissé le rideau, déclaré forfait, lâché l’affaire, elle avait dit stop, basta, terminado, et elle avait de bonnes raisons d’en arriver là.
Je ne sais plus quand est venue l’idée d’écrire sur ma mère, autour d’elle, ou à partir d’elle, je sais combien j’ai refusé cette idée, je l’ai tenue à distance, le plus longtemps possible, dressant la liste des innombrables auteurs qui avaient écrit sur la leur, des plus anciens aux plus récents, histoire de me prouver combien le terrain était miné et le sujet galvaudé, j’ai chassé les phrases qui me venaient au petit matin ou au détour d’un souvenir, autant de débuts de romans sous toutes les formes possibles dont je ne voulais pas entendre le premier mot, j’ai établi la liste des obstacles qui ne manqueraient pas de se présenter à moi et des risques non mesurables que j’encourais à entreprendre un tel chantier.
Ma mère constituait un champ trop vaste, trop sombre, trop désespéré : trop casse-gueule en résumé.
J’ai laissé ma soeur récupérer les lettres, les papiers et les textes écrits par Lucile, en constituer une malle spéciale qu’elle descendrait bientôt dans sa cave.
Je n’avais ni la place ni la force.
Et puis j’ai appris à penser à Lucile sans que mon souffle en soit coupé : sa manière de marcher, le haut du corps penché en avant, son sac tenu en bandoulière et plaqué sur la hanche, sa manière de tenir sa cigarette, écrasée entre ses doigts, de foncer tête baissée dans le wagon du métro, le tremblement de ses mains, la précision de son vocabulaire, son rire bref, qui semblait l’étonner elle-même, les variations de sa voix sous l’emprise d’une émotion dont son visage ne portait parfois aucune trace.
J’ai pensé que je ne devais rien oublier de son humour à froid, fantasmatique, et de sa singulière aptitude à la fantaisie.
J’ai pensé que Lucile avait été successivement amoureuse de Marcello Mastroianni (elle précisait : “vous m’en mettrez une demi-douzaine”), de Joshka Schidlow (un critique théâtre de Télérama qu’elle n’avait jamais vu mais dont elle louait la plume et l’intelligence), d’un homme d’affaires prénommé Edouard, dont nous n’avons jamais connu la véritable identité, de Graham, un authentique clochard du 14e arrondissement, violoniste à ses heures et mort assassiné. Je ne parle pas des hommes qui ont vraiment partagé sa vie. J’ai pensé que ma mère avait dégusté une poule au pot avec Claude Monet et Emmanuel Kant, lors d’une même soirée dans une banlieue lointaine dont elle était rentrée par le RER, et s’était vue privée de chéquier pendant des années pour avoir distribué son argent dans la rue. J’ai pensé que ma mère avait contrôlé le système informatique de son entreprise, ainsi que l’ensemble du réseau RATP, et dansé sur les tables des cafés.
Je ne sais plus à quel moment j’ai capitulé, peut-être le jour où j’ai compris combien l’écriture, mon écriture, était liée à elle, à ses fictions, ces moments de délire où la vie lui était devenue si lourde qu’il lui avait fallu s’en échapper, où sa douleur n’avait pu s’exprimer que par la fable.
Alors j’ai demandé à ses frères et soeurs de me parler d’elle, de me raconter. Je les ai enregistrés, eux et d’autres, qui avaient connu Lucile et la famille joyeuse et dévastée qui est la nôtre. J’ai stocké des heures de paroles numériques sur mon ordinateur, des heures chargées de souvenirs, de silences, de larmes et de soupirs, de rires et de confidences.
J’ai demandé à ma soeur de récupérer dans sa cave les lettres, les écrits, les dessins, j’ai cherché, fouillé, gratté, déterré, exhumé. J’ai passé des heures à lire et à relire, à regarder des films, des photos, j’ai reposé les mêmes questions, et d’autres encore.
Et puis, comme des dizaines d’auteurs avant moi, j’ai essayé d’écrire ma mère.
Depuis plus d’une heure Lucile observait ses frères, leur élan du sol à la pierre, de la pierre à l’arbre, de l’arbre au sol, dans un ballet discontinu qu’elle avait du mal à suivre, rassemblés maintenant en cercle autour de ce qu’elle avait deviné être un insecte mais qu’elle ne pouvait voir, aussitôt rejoints par leurs soeurs, fébriles et empressées, qui tentaient de se frayer une place au milieu du groupe. Au vu de la bestiole, les filles poussèrent des hurlements, on croirait qu’on les égorge avait pensé Lucile, tant leurs cris étaient stridents, ceux de Lisbeth surtout, qui sautait comme un cabri tandis que Justine appelait Lucile de sa voix la plus perçante, afin qu’elle vînt voir sans plus attendre. Dans sa robe en crêpe de soie claire, les jambes croisées de telle sorte que rien ne pût se froisser, ses socquettes tirées sans un pli sur ses chevilles, Lucile n’avait aucune intention de bouger. Assise sur son banc, elle ne perdait pas une seconde de la scène qui se jouait devant elle, mais, pour rien au monde, n’eût réduit la distance qui la séparait de ses frères et soeurs, auxquels d’ailleurs s’étaient joints d’autres enfants attirés par les cris. Chaque jeudi, Liane, leur mère, envoyait sa marmaille au square, sans exception aucune, les plus grands ayant pour mission de surveiller les petits, et pour unique consigne de ne pas revenir avant deux heures. Dans un bruit de fanfare, la fratrie quittait l’appartement de la rue de Maubeuge, descendait les cinq étages, traversait la rue Lamartine puis la rue de Rochechouart, avant d’entrer dans le square, triomphante et remarquable, car nul ne pouvait ignorer ces enfants que seulement quelques mois séparaient les uns des autres, leur blondeur qui confinait au blanc, leurs yeux clairs et leurs jeux bruyants. Pendant ce temps, Liane s’allongeait sur le premier lit venu et dormait d’un sommeil de plomb, deux heures de silence pour récupérer des grossesses, des accouchements et des allaitements répétés, des nuits entrecoupées de pleurs et de cauchemars, des lessives et des couches sales, des repas qui revenaient sans trêve.
Lucile toujours s’installait sur le même banc, un peu à l’écart, mais suffisamment proche du point stratégique que constituaient les trapèzes et les balançoires, idéal pour une vision d’ensemble. Parfois elle acceptait de jouer avec les autres, parfois elle restait là, à trier dans sa tête, expliquait-elle, mais elle ne précisait jamais quoi, ou seulement d’un geste vague désignait l’alentour. Lucile triait les cris, les rires, les pleurs, les allées et venues, le bruit et le mouvement perpétuels dans lesquels elle vivait. Quoi qu’il en soit, Liane était de nouveau enceinte, ils seraient bientôt sept, puis sans doute huit et peut-être davantage. Parfois Lucile se demandait s’il y avait une limite à la fécondité de sa mère, si son ventre pouvait ainsi se remplir et se vider sans fin, et produire des bébés roses et lisses que Liane dévorait de son rire et de ses baisers. Mais peut-être les femmes étaient-elles soumises à un nombre d’enfants limité que Liane aurait bientôt atteint et qui, enfin, laisserait son corps inoccupé. Les pieds dans le vide, assise exactement au milieu du banc, Lucile pensait au bébé à venir, dont la naissance était prévue pour le mois de novembre. Un bébé noir. Car tous les soirs, avant de s’endormir dans la chambre des filles qui contenait déjà trois lits, Lucile rêvait d’une petite soeur d’un noir absolu, irrémédiable, dodue et luisante comme un boudin, que ses frères et soeurs n’oseraient approcher, une petite soeur dont personne ne comprendrait les pleurs, qui hurlerait sans cesse et que ses parents finiraient par lui céder. Lucile prendrait le bébé sous son aile et dans son lit, et serait la seule, elle qui pourtant haïssait les poupées, à pouvoir s’en occuper. Le bébé noir dorénavant s’appellerait Max, comme le mari de Madame Estoquet, sa maîtresse, qui était routier. Le bébé noir sans restriction lui appartiendrait, lui obéirait en toute circonstance, et la protégerait.
Les cris de Justine sortirent Lucile de ses pensées. Milo avait mis le feu à l’insecte qui avait flambé en moins d’une seconde. Justine s’était réfugiée dans les jambes de Lucile, son petit corps secoué par les sanglots, et la tête posée sur ses genoux. Tandis que Lucile caressait les cheveux de sa soeur, elle aperçut le filet de morve verte qui coulait sur sa robe. Ce n’était pas le jour. D’un geste ferme elle releva le visage de Justine, lui ordonna d’aller se moucher. La petite voulait lui montrer le cadavre, Lucile finit par se lever. De la bête il ne restait que quelques cendres et un bout de carapace racorni. Du pied, Lucile les recouvrit de sable, puis leva la jambe et cracha dans sa main pour frotter sa sandale. Ensuite elle sortit un kleenex de sa poche, essuya les larmes et le nez de Justine avant de prendre son visage entre ses mains pour l’embrasser, un baiser sonore comme ceux de Liane, les lèvres bien collées sur la rondeur des joues.
Bonne lecture!
DANS L’IPHONE de FPTS #3
Bonjour tout le monde! A y’ai le soleil est reviendu et c’est beaucoup mieux comme ça!
Aller je te propose ma semaine en images histoire de te divertir dans ta folle journée!!
Et oui je continue toujours mes footings! Et ça fait du bien au corps et à la tête!!
Un peu de verdure ça fait du bien! Z’ont remis plein de fleurs sur les Berges du Rhône! C’est printanier j’aime bien…
Ouiiiii j’ai craqué pendant les Soldes : mes nouvelles sandales complètement colorées!
Un petit Lapin Crétin qui cache une clé USB!! Trop mignon! Je l’ai offert sympa comme idée cadeau nan ?
De trop mignonnes KJacques pour petites filles! J’adore…
La pause Thé du vendredi matin avec les keupines! ben vi Vendredi c’est Free Friday!
Mon fiston qui écrit au tableau avec sa jolie fote d’ortographe à jambon : je suis fan!
Hummm une bonne adresse de resto-filles avec des cassolettes pour chaque jour! (je t’en re-parle bientôt sur le blog!)
Essayage de compensée chez Texto! Ben quoi on sait jamais des fois que…
Fête de l’école : oui c’est bientôt fini!!! VIVE LES VACANCES!
Et toi ta semaine s’est bien déroulée?!
Bon je serais pas trop là en fin de semaine, je serais dans le sud 🙂 alors à bientôt pour de nouvelles aventures!
DIOR GOLDEN JUNGLE MANUCURE AUTOMNE 2012
Bonjour! Sympa ce temps d’automne hein ? On se croirait en Octobre pffffff, décidément l’Été 2012 est bien pourri cahotique!
Du coup j’en profite pour t’annoncer une nouvelle collection pour l’Automne ben vi je suis comme ça faut pas perdre le nord!
Y’a de la nouveauté verniesque, oui oui, du vrai ton automnal sur tes ongles! Même que c’est un peu Army comme couleur, on fait dans le militaire à la rentrée!
Golden Jungle Duo Dior Vernis, Amazonia, Bengale…
Mais attends c’est pas tout! Toi tu crois que tu vas te peinturlurer les ongles juste comme ça… Que nenni que point! Dior innove, se met au diapason et te propose un vernis craquelé!
Tadammmm
Bon je te l’accorde moi le craquelé c’est pas mon truc hien ? Je trouve pas ça terrible terrible! Heureusement t’es pas obligé de le faire! ahahah tu peux simplement faire de la mono-couleur comme ceci
C’est ambiance Savane à la rentrée attention!!
Voilà voilà alors séduite ou pas ? En même temps j’ai juste envie de te dire que la rentrée 2012 c’est Choco Chocolat, et wouais comme y’a 4 ans! Alors va falloir t’y faire!
Bon perso moi ce choco au lait sur les ongles de la dame ça me déplait pas! Le seul truc c’est que là je suis plutôt orange, corail toussa les couleurs de l’été, alors si le soleil pouvait revenir ça m’arrangerais!
On aura tout l’hiver (beurk) pour se prendre pour des animaux sauvages!!!
Bon évidement la maison Dior te propose toute la gamme hein! : du fard de la paupière à le gloss!! Pour que tu sois raccord dans ton nouveau style Jungle!!
C’est fin Aôut que tu trouveras tous ces nouveautés dans ta parfumerie préférée!!
La belle journée sous la pluie!
Alors Séduite par ces nouveautés ?
LA SEMAINE SUR LA TOILE DE FPTS
C’est vendredi tout est permis!
Comme tu te doutes, je surfe (wouais je prend ma board et hop j’envoie!) sur le net très régulièrement! Du coup parfois je lis des trucs de ouf, oui ma vie est passionnante! Et je me dit que je le partagerai bien avec toi! (non ne me remercie pas ça me fait plaisir!)!
Aller toi aussi prend ta board, mets de la wax c’est parti!
Tout d’abord j’ai découvert que Gisèle et ben elle avait lancé sa ligne de Sous Vêtements, logique après les tongs faut bien s’habiller tout de même!
Attention c’est calienté… Bon ce sont des sous vêtements quoi, pas de quoi nan plus se pamer hein! enfin si ptête les gars , sur sa plastique mais c’est tout! A pas bien compris le pourquoi du sous vêtement!!?! Bon en ce moment elle est enceinte alors peut être qu’on aura une ligne de vêtement grossesse qui sait!!
Yves Saint Laurent ne s’appellera plus Yves Saint Laurent ben vi, on te demande pas ton avis, c’est tombé comme ça la, tu t’y attendais pas!
YSL devient Saint Laurent Paris!
Tu vois le truc ou pas ? Alors moi je me pose plein de question on fait quoi du Y ? On le met en gardiennage : va t-il revenir un jour ? On fait comment pour l’idendité visuelle : toutes ces étiquettes à refaire (un boulot!) ? Pétard celui qu’a remporter le marché doit être sacrément heureux!
Mais bon fondamentalement cela va t-il changer quelques chose!
Alors pour les puristes bien sûr perdre le Y c’est un peu perdre une lettre de noblesse… Perso Saint Laurent Paris c’est pas mal (enfin je veux dire ça change pas non plus radicalement quoi!) puis surtout Monsieur Bergé a donné son accord à Monsieur Hedi Slimane après tout, toussa ne nous regarde pas (t’as pas le choix, c’est comme ça pi c’est tout, plus de Y plus de Y…!!!)
Ca m’empêchera pas de reluquer les vernis même s’il y’a plus le Y!! Ah le monde de la mode est-il un monde à part ?!!!!
(Le nouveau nom de la griffe apparaîtra dans les boutiques au printemps 2013!!!) .
Ah puis y’a eu le drame de la semaine dernière une nouvelle qui a déstabilisé une grosse partie du monde poeple (ou pas!)… Ben vi je sais c’est douloureux d’en parler comme ça, mais bon faut bien le faire quand même… Je te parle de RUPTURE, le truc impensable que personne il s’y attendait…
Johnny quitte Vanessa, ou l’inverse d’ailleurs parce là encore on ne nous a rien dit sur le pourquoi du comment mais c’est bel et bien FINI!
Alors certains crient au scandale parce qu’ils nous ont vendus du rêve pendant 14 ans (Tout de même!)… Si Vanessa & Johnny sont plus ensemble comment on va faire nous alors hein ?
On avait tout misé sur cette histoire romantiquo-américano-milliardo-ilo déserto…
Nan je te le dis tout fout le camp… C’est le buzz de la semaine dernière!!! Pitêtre que Vaness elle a déjà un autre amoureux toussa, … quoi c’est pas ça qu’il faut dire pour étaler ta vie amoureuse sur les tabloïds! ?
Puis y’a eu une autre nouvelle! Oui nan mais quand je te dis qu’il se passe plein de truc! Y’a Monsieur Louboutin (oui la semelle rouge) qui s’est dit tient et si je m’appropriais la pantoufle de Cendrillon….
C’est vrai quoi, c’est quand même super important, voir même capital que Cendrillon marche en Louboutin!!!! Remarque ça va relancer ce dessin animé culte, c’est bon pour Walt Disney, c’est tout benef pour C. Louboutin… C’est vrai qu’on parle pas assez de lui hein!!
Puis quand t’as 7 ans et que tu vois la semelle rouge dans Cendrillon t’as de forte probabilité de vouloir des Louboutin pour tes 16 ans!! Ah le monde de la mode un monde à part je te dis!
Le mythe de la princesse… A force de voir ces semelles rouges, j’aurais tendance du coup à pas en vouloir même si ça fait rêver le monde entier!
Bon puis en fan (oui j’assume complètement!) que je suis y’a eu aussi les 3 ans d’anniversaire de la mort de MJ!
Ben vi c’était y’a 3 ans… le temps passe parfois vite et doucement mais bon j’écoute MJ depuis que j’ai 12 ans (non ne compte pas ty n’y arriveras pas) alors du coup anniversaire ou pas … Oui je suis fan de son premier album THRILLER, oui je me suis essayée au MOON WALK qui est devenu rapidement VAUTRE WALK j’assume encore une fois! C’est un peu de mon intimité que je te dévoile là!!
Voilà quoi que des trucs supers importants, qu’il ne fallait pas rater!!!
je te souhaite un doux et bon week end!
Et toi ta semaine sur la toile c’était comment ?